« Maman, peux-tu me raconter une histoire ?
- Bien sûr chérie, mais quel genre d'histoire ?
- J'en voudrais une avec des chevaliers, des princesses, des magiciens. Tu vois, comme celle de l'autre jour, quand on s'était endormies avant la fin, et qu'on avait ri au réveil de la situation. Une mère et sa fille endormies dans une chambre de princesse. Oh oui, maman, je voudrais que tu me racontes cette histoire à nouveau. Je veux encore savoir comment le chevalier délivra la princesse des griffes de la sorcière, comment la citrouille s'était transformée en cent carottes, et comment une de ces carottes s'était transformée une robe de bal pour la princesse. Tu sais que je n'aime pas Cendrillon, l'histoire me paraît plate, sans ce grain de magie que toi, tu m'offres si bien avec ton histoire. Et c'est justement pourquoi j'aime cette histoire. Là, il n'y a pas besoin de carrosse, non ! Les papillons, groupés, peuvent transporter la princesse (grâce à l'aide des fées, qu'il ne faut surtout pas négliger). Elle déborde de rebondissements, tu sais, quand par exemple la princesse trébuche et trouve un anneau dans le Bois aux Merveilles, anneau, qu'elle mettra à son doigt seulement lorsqu'elle épousera le chevalier (mais on ne saura si c'est vrai que si tu reprends l'histoire au début. Tu te souviens, nous nous étions endormies sans avoir entendu la fin) ou encore que le chevalier frappe à toutes les portes de chaque maison du pays (ce qui fait un certain nombre quand on sait qu'une maison compte au moins sept portes !) afin de trouver des choux, pour alimenter le potage. Avec seulement des carottes, le bouillon n'aurait jamais été assez bon pour l'offrir à une princesse. Les princesses ne mangent pas n'importe quoi ! Tu vois, maman, je veux rêver, pour me dire que la vie c'est pas si dur qu'elle n'y paraît. Et comme tu es ma conteuse de rêves préférées… j'aimerais que tu me racontes cette histoire, s'il te plaît…
- Je commence par le début ? dit-elle après avoir ri.
- Oh oui ! Bien sûr ! Et surtout, n'oublie aucun détail, l'ensemble d'entre eux donnent leur arôme à tes histoires… Cet arôme doux, maman, je suis certaine qu'aucune autre mère ne saurait le donner. Il est si bon, il est si frais, il est tellement adapté à ces histoires… Et cet arôme, tu sais, c'est le petit plus qui, une fois que tu as fini de me raconter toutes ces histoires de chevalier et de princesse, me permet de basculer dans un monde de rêves et de magie… »
Comme elle disait ça, sa mère la sentait s'endormir sur son bras. Néanmoins, elle commença à raconter le sauvetage de la princesse parce que cette histoire, c'était sa part de rêve à elle aussi, un lien minuscule avec l'enfance et la princesse qu'elle rêvait de devenir. "
Une histoire de Chevaliers et de Princesses par Joker-artistique.
- Bien sûr chérie, mais quel genre d'histoire ?
- J'en voudrais une avec des chevaliers, des princesses, des magiciens. Tu vois, comme celle de l'autre jour, quand on s'était endormies avant la fin, et qu'on avait ri au réveil de la situation. Une mère et sa fille endormies dans une chambre de princesse. Oh oui, maman, je voudrais que tu me racontes cette histoire à nouveau. Je veux encore savoir comment le chevalier délivra la princesse des griffes de la sorcière, comment la citrouille s'était transformée en cent carottes, et comment une de ces carottes s'était transformée une robe de bal pour la princesse. Tu sais que je n'aime pas Cendrillon, l'histoire me paraît plate, sans ce grain de magie que toi, tu m'offres si bien avec ton histoire. Et c'est justement pourquoi j'aime cette histoire. Là, il n'y a pas besoin de carrosse, non ! Les papillons, groupés, peuvent transporter la princesse (grâce à l'aide des fées, qu'il ne faut surtout pas négliger). Elle déborde de rebondissements, tu sais, quand par exemple la princesse trébuche et trouve un anneau dans le Bois aux Merveilles, anneau, qu'elle mettra à son doigt seulement lorsqu'elle épousera le chevalier (mais on ne saura si c'est vrai que si tu reprends l'histoire au début. Tu te souviens, nous nous étions endormies sans avoir entendu la fin) ou encore que le chevalier frappe à toutes les portes de chaque maison du pays (ce qui fait un certain nombre quand on sait qu'une maison compte au moins sept portes !) afin de trouver des choux, pour alimenter le potage. Avec seulement des carottes, le bouillon n'aurait jamais été assez bon pour l'offrir à une princesse. Les princesses ne mangent pas n'importe quoi ! Tu vois, maman, je veux rêver, pour me dire que la vie c'est pas si dur qu'elle n'y paraît. Et comme tu es ma conteuse de rêves préférées… j'aimerais que tu me racontes cette histoire, s'il te plaît…
- Je commence par le début ? dit-elle après avoir ri.
- Oh oui ! Bien sûr ! Et surtout, n'oublie aucun détail, l'ensemble d'entre eux donnent leur arôme à tes histoires… Cet arôme doux, maman, je suis certaine qu'aucune autre mère ne saurait le donner. Il est si bon, il est si frais, il est tellement adapté à ces histoires… Et cet arôme, tu sais, c'est le petit plus qui, une fois que tu as fini de me raconter toutes ces histoires de chevalier et de princesse, me permet de basculer dans un monde de rêves et de magie… »
Comme elle disait ça, sa mère la sentait s'endormir sur son bras. Néanmoins, elle commença à raconter le sauvetage de la princesse parce que cette histoire, c'était sa part de rêve à elle aussi, un lien minuscule avec l'enfance et la princesse qu'elle rêvait de devenir. "
Une histoire de Chevaliers et de Princesses par Joker-artistique.
Prend ton temps pour la suite, mais compte sur moi pour aller la voir dès sa publication ;)
J'aime beaucoup Deviantart, mais le seul problème c'est que c'est en anglais T.T, et je suis nulle en langue... donc je capte rien et j'arrête pas de cliquer n'importe où U-U'.